Les principaux nœuds
utilisés sur la yole de Villefranche


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Nœud de chaise

Il sert à faire un boucle à l’extrémité d’un cordage. Tout équipier se doit de le connaitre !






NB :  La « racine de l'arbre » doit passer SOUS la « margelle du puits », autrement dit le « puits » doit être réalisé en passant le courant du cordage par-dessus le dormant qui constitue l'arbre. Sinon, le nœud ne tient pas.     


 

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Nœud de banc (ou de drisse)

Nœud essentiel sur la yole ; c’est lui qui permet à l’équipage d’établir les voiles. Il retient la drisse au banc en dessous. Il ne tient que si le cordage travaille sans cesse. Sa facilité à être défait est un élément de sécurité.

 

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Nœud de taquet

Inutile de faire plein de tours !   Bien fait, il est fiable...











 

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Un tour mort et deux demi-clefs

C’est le nœud d’amarrage par excellence. Il est très solide et facile à défaire.

 

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Nœud de cabestan

Pratique pour fixer un pare-battage, ce nœud d’amarrage n’est cependant sûr que soumis à une tension constante perpendiculaire au point d'attache.

 

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Nœud de ris

Utilisé pour «prendre un ou deux ris» sur une voile afin d'en réduire la surface quand le vent augmente, le nœud plat gansé est un nœud de lacet de chaussure avec une ganse au lieu de deux !






















 

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Nœud en huit
 

Nœud d'arrêt, il est réalisé à l'extrémité d’un cordage et sert à l'empêcher de sortir du conduit dans lequel il passe.




 

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Nœud d'agui

Plus fiable que le nœud plat pour relier deux cordages : deux nœuds de chaise








 

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Pour s'amuser à créer une pomme de touline



 

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Et, pour finir, comment lover un cordage

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